Faire ses courses au supermarché avec ses enfants relève de l’exploit.
Entre les produits savamment disposés à la portée de l’enfant, l’excitation lumineuse et musicale qui rend les petits hyperactifs, se faufiler entre la liste des courses, les offres et les appels des promoteurs est éprouvant et fatigant, encore plus le soir ou le samedi, épuisé par les efforts de la journée.el travail.
Ce n’est donc pas un hasard si le nombre d’enfants tombant des chariots de supermarché est en constante augmentation, comme nous l’apprennent les États-Unis : les enfants sont de plus en plus attirés par les objets. qui attirent l’attention et gadgets, ils dérapent un peu trop et, aidés par la fatigue physiologique de papa et maman, tombent du chariot.
Une chute de cette hauteur n’est certainement pas saine et, par conséquent, un nombre croissant de traumatismes crâniens est enregistré dans les allées des supermarchés. Dans l’idéal, nous devrions faire nos courses sans enfants afin de pouvoir nous concentrer sur ce que nous devons acheter et ne pas être distraits et persuadés par les différentes crises de colère. Malheureusement, ce n’est pas toujours possible.
Donc, quand nous sommes avec les petits pour faire les courses, nous devons prendre quelques précautions pour réduire le risque d’accident. Tout d’abord, ne laissez jamais l’enfant sans surveillance ; emportez toujours le chariot avec vous et donnez-lui des livres ou une peluche pour l’occuper. Néanmoins, nous essayons de faire en sorte qu’il ne s’ennuie pas trop pour qu’il puisse objets ne sont pas la seule attraction disponible et de prendre le dessus sur son ennui, mais impliquons-le – par exemple – en lui expliquant ce que nous recherchons ou ce que nous allons cuisiner avec cela que nous avons mis dans le chariot.
Réduisons nos achats à l’essentiel, sans nous laisser séduire par les promotions et remettons à la prochaine fois l’achat de produits qui nécessitent de l’argent. le temps de la décision : il s’agit d’un achat alimentaire, pas d’une séance de shopping que l’on se réserve quand les amis et les grands-parents complaisants gardent le bébé à l’abri des chariots et des tentations à la maison pendant quelques heures.