Pour une mère, reconnaître une crise de colère de son enfant d’un malaise est l’une des choses les plus difficiles dans son parcours de mère. Peu importe que vous soyez une maman débutante ou expérimentée : si le bébé ne parle toujours pas, il est très difficile de comprendre s’il a mal au ventre, la gorge enflammée ou toute autre douleur.
Pourquoi il est facile de confondre l’inconfort physique avec les crises de colère.
Dans ce cas, lorsque la douleur est confondue avec les crises de colère, il est facile pour la mère de se sentir coupable. Persuadée qu’elle s’est trompée, qu’elle n’est pas à la hauteur de la situation et qu’elle est incapable d’interpréter les signaux donnés par son enfant, la mère se décourage. Malheureusement, il est assez facile de confondre le cri de douleur d’un enfant avec une crise de colère soudaine. Cela se produit surtout si l’enfant réagit et manifeste son malaise par de l’hystérie et de la nervosité.
L’enfant est malade, ce n’est pas une crise de colère.
Lorsque l’enfant est malade, il peut devenir irritable pour un rien. Il peut arriver qu’il soit par terre en train de crier sans raison, qu’on lui présente son déjeuner et qu’il ait des réactions incontrôlables et hystériques. L’enfant ramasse des objets et les jette sans explication, dit constamment non ou mime son indisposition de la tête. La nervosité s’estompe si la mère le prend dans ses bras et le cajole. Les calins et les câlins deviennent la seule raison pour lui de sourire.
C’est précisément pour cette raison qu’il est très facile de confondre un malaise avec un caprice. On a tendance à penser que son comportement est dicté par le désir d’attirer l’attention, on est convaincu que les câlins sont une conquête de l’un de ses désirs. On oublie, ou on a tendance à ne pas se rendre compte, que le câlin demandé n’équivaut pas toujours à un désir d’attention, mais est une petite consolation à une douleur ou à l’influence commune des enfants.