Certaines personnes allaitent en classe, d’autres sur leur lieu de travail, d’autres encore lors de leur examen final et d’autres, comme Christine, allaitent leur petit à l’église pendant la célébration de leur mariage. Je parie que tu as manqué celui-là, hein ? Hier, il s’agissait d’excommunication et de condamnation au bûcher pour obscénité. Aujourd’hui, il s’agit d’une matière à délires pour les plus moralisateurs qui ne saisissent pas la beauté de l’un des gestes les plus tendres et les plus naturels au monde.
Bien que l’allaitement de son enfant soit une tâche importante et merveilleuse en raison du lien symbiotique qui se crée entre la mère et l’enfant, mais aussi pour la croissance et la santé de l’enfant qui, comme nous le savons, bénéficie énormément du lait maternel, l’idée de le faire n’importe où, disons en cas de nécessité, est un peu gênante. Encore moins à l’église.
Le choix courageux de Christine d’allaiter son bébé de 9 mois à l’église
Pourtant, il n’y a pas grand-chose à faire, lorsque le bébé appelle, toute mère, même la plus discrète, répond. Un peu comme l’a fait la nouvelle mariée Christine, qui, à peine 15 minutes après le début de la cérémonie, a choisi d’allaiter la petite Gemma qui réclamait son repas.
Pour l’apaiser, compte tenu également de la durée assez longue de la cérémonie, la jeune maman a fait porter le bébé sur ses genoux et l’a allaité devant l’autel avec l’approbation de tous. Après cela, la cérémonie s’est poursuivie de la meilleure façon possible pour la joie des mariés, de leur petite fille et de tous les invités.
Une pluie de commentaires pour la mère qui allaite son bébé à l’église
La photo montrant Christine en train d’allaiter son bébé devant à l’autelqui a été rapidement partagée sur les médias sociaux par fierté maternelle mais aussi pour soutenir toutes les mères qui allaitent et qui, comme elle, se retrouvent souvent dans des situations difficiles et embarrassantes, a été inondée de commentaires et de photos de nombreuses mères qui ont vécu des circonstances aussi particulières.
Qu’auriez-vous fait à sa place ?