Comme on le sait, au cours des premières semaines de leur vie, les nouveau-nés n’ont pas besoin de boire de l’eau. En effet, le lait maternel, tout comme le lait artificiel, est presque entièrement caractérisé par la substance la plus importante pour notre organisme.
L’eau et les nourrissons : feu vert dès le sixième mois
Jusqu’au sixième mois environ, il n’y a donc aucune raison de donner de l’eau au bébé. À partir de ce moment-là, c’est-à-dire à partir du moment où le sevrage avec les premiers aliments pour bébé est prévu, l’eau devient un élément essentiel de l’alimentation du bébé et il doit s’habituer à en consommer régulièrement, aussi bien pendant les repas que tout au long de la journée.
Les experts recommandent également qu’au cours des premiers mois de sa vie, le nouveau-né ne consomme pas d’autres liquides que le lait, comme des tisanes. Le risque est de remplir l’estomac du bébé, qui peut arriver à l’heure du repas avec un faux sentiment de satiété. De cette façon, les nutriments contenus dans le lait peuvent ne pas être assimilés en bonne quantité, donnant lieu à une sensation de faim ultérieure plus complexe à gérer.
Après le sixième mois, en revanche, feu vert à l’eau : la dose recommandée est d’environ 40 ml par repas. N’ayez pas peur dans vos choix : n’importe quelle eau faiblement minéralisée est parfaite pour apporter la bonne teneur en minéraux au bébé.
N’oubliez pas qu’en général, il est préférable de donner de l’eau embouteillée en verre car, par rapport au plastique traditionnel, il est mieux à même de protéger les composants naturels qu’il contient.
Et l’eau du robinet ?
Malgré ce que l’on pourrait penser, même les bébés peuvent le boire sans crainte, car il est exempt de substances nocives pour leur organisme. Pour dissiper tout doute sur la qualité de l’eau du robinet, vous pouvez recourir aux méthodes traditionnelles toujours efficaces, par exemple en la faisant bouillir dans une casserole.
Après l’avoir laissé refroidir, l’eau purifiée de toute souillure peut être bue en toute sécurité par l’enfant, faisant ainsi un clin d’œil non seulement à la santé mais aussi à la commodité.