L’enlèvement des couches des bébés est un défi auquel tous les pères et mères sont appelés tôt ou tard. C’est un pas important vers l’indépendance, qui peut être plus ou moins facile selon la situation.
Commençons par une hypothèse importante : chaque enfant est différent. Il y aura des petits précoces et des petits qui atteindront la ligne d’arrivée un peu plus tard. Dans tous les cas, il faut les aider sans jamais les blâmer ni les mettre mal à l’aise.
L’enlèvement des couches : quand ?
L’âge est variable, mais peut aller de 18-20 mois (plus rarement) à 3½ ans. Après cet âge, l’enfant entre généralement à l’école maternelle et on lui demande d’y être aussi indépendant que possible.
L’enfant doit être prêt, et il ne faut pas le forcer, surtout s’il est tout petit. Commencez par noter quand il fait pipi ou caca et essayez ensuite de voir si cet horaire est régulier. Si vous vous rendez compte le matin en l’habillant que sa couche est sèche, profitez-en immédiatement pour essayer de l’emmener aux toilettes.
L’enlèvement des couches : signes utiles
Si l’enfant a des frères et sœurs plus âgés, il peut vouloir les imiter et donc essayer de s’asseoir sur les toilettes ou le pot.
Si, après plusieurs heures, vous constatez que la couche est sèche, cela signifie que sa vessie fonctionne de manière optimale. Si, lorsque vous le changez, il ne veut pas remettre la couche ou s’il l’enlève tout seul, il est peut-être temps d’essayer.
L’enlèvement des couches : comment faire
Parlez à l’enfant et expliquez-lui qu’il grandit et qu’il peut maintenant vous dire quand il doit aller sur le pot. Choisissez ensemble un pot ou un réducteur, peut-être très coloré et qu’il aime utiliser. Soulignez chaque succès, mais ne l’accablez pas d’échecs.
Utilisez à cette occasion des pantalons avec élastique pour qu’il puisse s’asseoir seul sur le pot sans perdre de temps, et veillez à ce que pendant trois jours (peut-être du vendredi au dimanche) vous puissiez vous consacrer exclusivement à cela.
Le plus important est de ne pas perdre patience et de ne jamais l’humilier : bonne chance !