Réparations à la charge du locataire
Maintenant bien,Quel type de réparations le locataire d’un logement loué assume-t-il ?? Selon la LAU « Les petites réparations nécessitées par l’usure due à l’usage ordinaire du logement seront à la charge du locataire ». Cette législation est développée par les tribunaux dans différents arrêts, dans lesquels ils exigent que pour réclamer des dommages-intérêts dans un logement loué, le dommage ou la détérioration ne soit pas dû à l’usage normal de celui-ci, mais plutôt à des causes imputables au locataire. . , indiquer à partir de Assurance de location (AS).
«En ce sens, nous examinons différentes décisions judiciaires sur la possibilité de donner une caution pour la réparation des trous pratiqués dans les murs pour accrocher des tableaux ou pour peindre les murs.
Il faut souligner le jugement du Tribunal provincial de Barcelone (article 4), du 22/03/2020, qui a la formulation littérale suivante : « En ce qui concerne les notions de nettoyage et de peinture, tant cet article 4 que l’article 13 du présent AP ( jugement article 13, du 18-12-2018), nous avons indiqué à plusieurs reprises que le nettoyage général de la maison et nettoyage et peinture des murs Il s’agit de réparations nécessaires dérivées de l’usage normal de la maison et doivent être entreprises par le propriétaire car elles sont nécessaires pour maintenir la maison dans des conditions habitables pour servir l’usage convenu, sans en aucun cas être classées comme de petites réparations nécessitant une usure. en raison de « l’usage ordinaire du logement que la loi place sous la responsabilité du locataire (article 21.4 de la loi 29/1994 du 29 novembre relative aux baux urbains). »
De même, est prononcé l’arrêt du Tribunal provincial de Valence (article 6) du 13.11.2012, qui rejette la demande du propriétaire visant à réclamer la rétention de la caution pour couvrir les trous laissés par les meubles ou les tableaux accrochés aux murs.
Enfin, nous citons comme exemple l’arrêt de l’AP de Barcelone (Section 4) du 20/06/2007 sur la détérioration de la peinture et du plâtre des murs, où il a également statué contre le propriétaire, étant entendu que « ils doivent être EXCLU DE LA RESPONSABILITÉ DU LOCATAIRE travaux de plâtrerie et de peinture des murs et plafonds « Rien ne prouve qu’ils ont nécessité des travaux de peinture pour une raison autre que le passage du temps et l’utilisation normale de la maison entre son occupation en septembre 2002 et mai 2004. »
Autrement dit, en conclusion, le Le locataire (locataire) est responsable de tous dommages ou dégradations subis par le logement en fin de location lorsqu’ils ont été causés par sa faute.mais n’est pas responsable des réparations des dommages causés par le passage du temps et l’utilisation normale du logement loué », déclarent-ils de l’Assurance Location.
Quels critères doivent être suivis pour convenir qui est en charge des réparations ?
En pratique, il peut être difficile de déterminer qui est responsable d’une panne : un vieux canapé dont le tissu est endommagé, un climatiseur qui ne fonctionne pas correctement, une machine à laver qui dégage de mauvaises odeurs…
C’est pourquoi il existe certains critères qui nous aident à définir Qui est responsable des réparations dans une maison louée:
La durée pendant laquelle le locataire est dans l’appartement en location
Si quelque chose se brise et que le locataire est entré dans le logement il n’y a pas longtemps, On considère qu’il n’y a pas d’usure due à une utilisation ordinaireLa réparation sera donc à la charge du propriétaire. Bien entendu, il faudra déterminer si la panne n’est pas due à une mauvaise utilisation de la part du locataire.
Le coût de la réparation
Lui aussi le type de réparation est essentiel pour déterminer qui est responsable de l’assumer. S’il s’agit d’une réparation mineure, le locataire devra la payer (changement des ampoules, réparation de la robinetterie…). En revanche, s’il s’agit de réparations majeures, comme des problèmes structurels ou des pannes de chaudière ou de canalisations, celles-ci seront à la charge du propriétaire.
Généralement, la jurisprudence prendre comme référence le montant de 150 euros de décider qui est chargé d’assumer ces « petites réparations ».