Il y a tout juste un mois, la mère de Lorenzo Bastelli, Francesca Ferri, avait demandé à ses fidèles d’écrire des lettres à son fils, atteint du sarcome d’Ewing, afin de le distraire de la maladie qui l’affligeait alors et qui l’envoie aujourd’hui dans le ciel.
Tout le monde social se rassemble autour de Francesca, qui a vécu à chaque instant la maladie de Lorenzo, qui lui a causé une immense douleur, une douleur que l’on ne voudrait jamais qu’un enfant qui entre dans le monde des adultes ressente.
L’appel de Mère Francesca pour son fils Lorenzo Bastelli atteint du sarcome d’Ewing
Lorenzo n’avait que 14 ans et fréquentait la première année du lycée scientifique de Castel San Pietro Terme, dans la province de Bologne. Ces dernières années, Lorenzo a dû mettre de côté sa volonté de vivre à cause du sarcome d’Ewing, un ennemi que le jeune homme avait déjà connu par le passé. Ces dernières semaines, Francesca a donc lancé un appel sur ses canaux sociaux, demandant à ceux qui la suivent de lui envoyer des lettres, des dessins, des photos, tout ce qui pourrait servir à distraire Lorenzo de cette maladie.
Les utilisateurs ont répondu en grand nombre à l’appel et Lorenzo a ainsi reçu des petites pensées de toute l’Italie qui l’ont aidé à ne pas trop penser à son état.
Presque un mois après cet appel, Francesca a informé tout le monde que malheureusement Lorenzo était décédé dans ses bras.
Le message d’adieu de Francesca : « Merci à tous ceux qui l’ont aimé ».
Comme un coup de tonnerre, est arrivé le message de Francesca sur sa page Facebook. La femme, en fait, avec un message empreint de tristesse et d’émotion pour la solidarité reçue pendant cette périodeelle a fait savoir que pendant la nuit Lorenzo l’a quittée, s’endormant pour toujours dans ses bras. Et elle voulait partager le fait que son enfant, ces jours-ci, lui répétait toujours « Maman, je t’aime ».
Le message de Francesca se termine par un remerciement à toutes les personnes qui ont aimé Lorenzo et par une phrase pleine de sens : « embrasse-nous tous mon amour, mais plus encore nous avons besoin d’entendre que tu es libre de briller autant que tu le peux ».